23/08/2011
Après plusieurs mois de hausse des taux d’intérêts (+ 0,45%) entre
Juillet et Aout 2008, les taux d’emprunt immobilier auprès des
particuliers enregistrent une légère baisse depuis le début de Septembre
2008.
Cette détente des taux de crédit immobilier permet aux banques, dans un premier temps de reconstituer leur marge en ne répercutant pas instantanément cette baisse des taux d’intérêts.
En effet, suite aux hausses successives des taux depuis le début de l’année 2008, les banques ont souvent renié sur leur marge commerciale afin de distribuer du crédit.
Après cette période de reconstitution, elles devraient dans les semaines qui viennent répercuter cette baisse auprès des particuliers, désireux de réaliser un achat immobilier.
De plus, beaucoup d’organismes bancaires n’ont pas à ce jour réaliser leurs objectifs commerciaux er financiers. La distribution de crédit devrait en être facilitée dans une certaine mesure.
Toutefois, ne nous y trompons pas, les conditions d’obtention de crédit immobilier seront à l’avenir beaucoup plus difficiles. Les organismes financiers demanderont un taux d’endettement inferieur à 33%, et un apport suffisant pour financer les frais inhérent a l’acte d’achat immobilier comme les frais de notaire, les frais d’agence immobilière et les frais de garantie.
L’apport minimum devrait se situer aux alentours de 15 à 30 000€ ; capital qui sera difficile à obtenir, pour un jeune couple désireux de s’installer.
Cette exigence devrait ralentir la croissance immobilière et provoquera, il est probable, une légère baisse des prix
De plus, la perte des actifs bancaires liée au « SUBPRIMES » et l’exigence Européenne d’un minimum d’actif (20% du total des crédits distribués) amènera les banques à réviser leurs conditions d’octroi d’emprunt immobilier.
Afin de réaliser tout de même leurs objectifs, nous devrions continuer à bénéficier de taux attractifs dans la mesure où nous satisfaisons à leurs critères d’exigibilité (apport mini et taux d’endettement).
Au vu de ces différents éléments, les taux de crédit immobilier devraient continuer à baisser et permettre d’obtenir des taux se situant aux alentours de 4,80% sur 20 ans, 5,20% sur 25 ans et 5,50% sur 30 ans.
D’autres banques proposeront de nouveaux produits de financement immobilier en allongeant les durées de crédits immobiliers mais n’hésitant pas à augmenter les taux pour les situer à prés de 6,00% sur des durées supérieures à 30 ans puisqu’elles sont en situation de quasi monopole sur ce type de produit.
Cette détente des taux de crédit immobilier permet aux banques, dans un premier temps de reconstituer leur marge en ne répercutant pas instantanément cette baisse des taux d’intérêts.
En effet, suite aux hausses successives des taux depuis le début de l’année 2008, les banques ont souvent renié sur leur marge commerciale afin de distribuer du crédit.
Après cette période de reconstitution, elles devraient dans les semaines qui viennent répercuter cette baisse auprès des particuliers, désireux de réaliser un achat immobilier.
De plus, beaucoup d’organismes bancaires n’ont pas à ce jour réaliser leurs objectifs commerciaux er financiers. La distribution de crédit devrait en être facilitée dans une certaine mesure.
Toutefois, ne nous y trompons pas, les conditions d’obtention de crédit immobilier seront à l’avenir beaucoup plus difficiles. Les organismes financiers demanderont un taux d’endettement inferieur à 33%, et un apport suffisant pour financer les frais inhérent a l’acte d’achat immobilier comme les frais de notaire, les frais d’agence immobilière et les frais de garantie.
L’apport minimum devrait se situer aux alentours de 15 à 30 000€ ; capital qui sera difficile à obtenir, pour un jeune couple désireux de s’installer.
Cette exigence devrait ralentir la croissance immobilière et provoquera, il est probable, une légère baisse des prix
De plus, la perte des actifs bancaires liée au « SUBPRIMES » et l’exigence Européenne d’un minimum d’actif (20% du total des crédits distribués) amènera les banques à réviser leurs conditions d’octroi d’emprunt immobilier.
Afin de réaliser tout de même leurs objectifs, nous devrions continuer à bénéficier de taux attractifs dans la mesure où nous satisfaisons à leurs critères d’exigibilité (apport mini et taux d’endettement).
Au vu de ces différents éléments, les taux de crédit immobilier devraient continuer à baisser et permettre d’obtenir des taux se situant aux alentours de 4,80% sur 20 ans, 5,20% sur 25 ans et 5,50% sur 30 ans.
D’autres banques proposeront de nouveaux produits de financement immobilier en allongeant les durées de crédits immobiliers mais n’hésitant pas à augmenter les taux pour les situer à prés de 6,00% sur des durées supérieures à 30 ans puisqu’elles sont en situation de quasi monopole sur ce type de produit.